Suite aux tentatives américaines de mettre fin à l'adhésion de l'Iran à la commission, les étudiants iraniens ont appelé les membres de la CSW à se rendre en Iran afin de se familiariser avec les réalités du pays.
"Malheureusement, on voit pour la énième fois qu'une commission stratégique affiliée aux Nations Unies adopte une approche politique sous l'influence de certains gouvernements spécifiques", lit-on dans la lettre.
Il s'est demandé si le massacre de femmes et d'enfants palestiniens à Sabra et Chatila, le meurtre de Razan Ashraf al-Najjar, un médecin de 21 ans, et le meurtre de Shireen Abu Akleh, la journaliste, ne constituaient pas des raisons suffisantes pour le renvoi du régime sioniste de cette commission.
La mort suspecte d'une femme iranienne, dont il a été récemment prouvé que la police n'y avait joué aucun rôle, est depuis longtemps devenue la une des journaux, indique la lettre : tout en demandant pourquoi les médias internationaux et la CSW n'ont rien fait en réaction à un rapport du Washington Post qui disait que chaque semaine, une femme est tuée par un coup de feu direct de la police américaine.
En tant que représentants des organisations nationales d'étudiants des universités de tout le pays de la République islamique d'Iran, nous vous annonçons que la représentation des médias contre le statut des femmes dans la République islamique est contraire à la vérité et que l'image des droits des femmes en Iran est attaqué par le terrorisme médiatique et nous ne laisserons pas la vérité être sacrifiée, lit-on sur la lettre des étudiants iraniens.
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